— Plongez dans l'univers de la saga de Stéphanie Meyer en faisant un bond gigantesque dans le passé, durant l'ère roumaine et pré-Volturi —
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian | |
| Auteur | Message |
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Stefan J. Dacian 『❶ MESSAGES』 : 33
『❷ REGISTRED SINCE』 : 03/08/2013
『❸ LOCALISATION』 : Dacia ♫
『❹ GIFT』 : Vampire sans don ♫
『❺ LOVE』 : Amoureux ♫
『❻ PROS AND CONS』 : Fidèle & Loyal & Mystérieux ♫ Violent & Casse-cou & Irréfléchi ♫
『❼ STATUS』 : Roi du Clan Dacian ♫
『❽ RPG AGE』 : 3650 ans ♫ 26 d'apparence ♫
『❾ SIDE』 : ♫
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 19:20
✓ Stefan Jeremiah Dacian son caratère Côté caractère, Stefan est loin d'être un cadeau, encore moins quelqu'un de facile à vivre. Les premières choses qui me viennent à l'esprit, chez lui, sont des défauts. Il est violent. Brutal. Impulsif. Impatient. Irritable. Fonceur. Casse-cou. Méprisant. Hautain. Dédaigneux. Supérieur. Railleur. Cassant. Froid. Sec. Impitoyable. Jaloux. Manipulateur. Calculateur. Il aime faire mal. J'imagine que rien qu'à voir cette liste de défauts vous prenez peur. Il a quelques points plus neutres, pour vous rassurer. Il est têtu. Il négocie si ça sert son intérêt, même s'il reste dur en affaire et que c'est finalement lui qui a toujours le dernier mot, malgré qu'il soit prêt à quelques compromis. Mystérieux, il aime parler à demi-mots, parfois. Mais bon, il a deux ou trois qualités, tout de même... Il est intelligent, déjà. Doté d'un esprit vif et parfois imaginatif. Il est aussi protecteur envers ceux qui cassent sa carapace de méchanceté. Fidèle, aussi. Capable de se plier en quatre pour eux. Prêt à tout, surtout. Qui tient coûte que coûte ses promesses. Homme franc et honnête. D'honneur et de parole. Pour le reste... A vous de le découvrir. Mais le voulez-vous vraiment ? | |
ღ histoire du personnageL'hiver était froid. Dehors, la neige recouvrait tout. Les récoltes avaient été mauvaises. Assurément mauvaises. Le blé ancien allait manquer. Les seigles sauvages aussi. La viande ? Il n'y en aurait pas avant de longs mois. Pourtant, il y avait deux bouches affamées de plus à nourrir. Un petit garçon, Stefan, et une petite fille, Mircea, nés le même jour, des mêmes parents. Nés à l'entrée de l'hiver. Deux êtres frêles et pour le moment inutiles. Et surtout ; Deux. Le garçon était plus résistant que la fille, déjà. D'un constitution plus robuste, sûrement. Ses yeux étaient d'un azur tirant légèrement sur les gris. Même si on songea qu'ils ne passeraient pas l'hiver, il résistèrent et grandirent. Ils étaient tout le temps à deux et, dès tout petit, furent lié par un lien puissant. Ce lien particulier qu'ont les jumeaux, ce lien quasiment fusionnel. Ils firent les quatre-cents coups et s'il se montrait moins facilement tendre ou câlin, Stefan adorait sa sœur, qui était comme le centre de son univers. Il ne voyait pas de raison que cela change. Quand quelque chose n'allait pas, il se rappelait seulement que tant qu'ils seraient à deux, tout irait pour le mieux. A deux, ils étaient plus forts que les autres, parce qu'ils pouvaient aveuglément compter l'un sur l'autre.
Comme ce jour, alors qu'ils avaient cinq ans, où des pillards avaient emmené toutes leurs récoltes après les avoir menacés. Il ne leur restait rien. Et Stefan, petit garçon impuissant, était resté tapis dans l'ombre en serrant Mircea contre lui. Une fois les voleurs partis, ils s'avancèrent, à deux, à l'orée du bois. Et sa jumelle s'effondra. Il se baissa à son niveau et passa son bras autour de ses épaules, rassurant, même si lui aussi se sentait anéanti. Mais il avait toujours été plus dur et préférait le secret de la nuit pour se laisser aller à ses chagrins d'enfant. Il ne voulait en aucun cas inquiéter sa petite rouquine de sœur. Mais il voyait bien que les ennuis étaient à leur porte. Après tout, ils ne possédaient déjà pas grand chose avant, désormais ils ne pouvaient s'estimer heureux que d'avoir encore un toit sur le tête et d'être tous vivants. Ainsi, le garçon resta silencieux, un long moment. La seule chose qu'il fut capable de dire à Mircea, c'était que tant qu'ils seraient ensemble, tout irait bien. Il essayait, du haut de ses cinq ans, d'être le plus rassurant possible.
Mais ils étaient deux enfants, deux bouches inutiles qu'il convenait pourtant de nourrir. C'était une chose qui paraissait impossible à leurs parents, une épreuve insurmontable. Si Stefan avait su ce qu'il se tramait, peut-être se serait-il fait plus insistant, ce jour où ses parents partirent en le laissant mais en emmenant sa petite rouquine. S'il resta toute la journée à tourner en rond, il ressentit une bouffée de joie au retour de ses parents. Lorsque tous deux entrèrent, il resta un court moment à scruter la porte. Puis il sortir en courant dans la campagne boisée.
« Mircea ? _ Elle s'est perdue en route... On ne l'a pas retrouvée, même en cherchant... _ Tu sais, il y avait des ravisseurs, elle a dû être capturée ou tuée... _ Non ! Non ! »
Un gros sanglot étouffa le petit garçon. Sa sœur, sa jumelle, sa moitié, perdue, disparue ? Il ne pouvait même pas s'y faire. L'idée lui était insurmontable. Pourtant, il était sûr que s'il lui était arrivé quelque chose, il l'aurait senti, là, au fond de lui. Pourquoi ses parents lui mentiraient-ils ? Il resta dehors, continua d'appeler et de chercher Mircea jusque la nuit tombée. Jusqu'à ce que son père l'attrape par la peau du dos et l'oblige à rentrer. Des jours entiers, Stefan resta devant la porte, à espérer la voir s'ouvrir sur la rousse. Mais elle ne revint pas. Lorsqu'il pouvait, il sortait à sa recherche. Mais jamais il n'avait retrouvé la moindre trace. Stefan se sentait infiniment seul. Dans ses errances à la recherche de sa sœur, il était seul. Ses parents faisaient comme si Mircea n'avait jamais existé. Lui refusait de l'abandonner à son triste sort. Il savait, il sentait qu'elle était toujours en vie. Il ressentait le besoin de la retrouver pour la protéger. Il lui avait juré que jamais rien ne les séparerait, et voilà qu'elle avait disparu et lui non. Il était brisé. Il sentait qu'on lui avait coupé les ailes. Et très vite, il en vain à haïr ses parents. En silence. Il rencontra à cette époque Vladimir, un garçon de la même condition que lui, qui vivait dans le même hameau, plus loin cependant, car la fermette – lugubre ruine branlante – était excentrée. Très vite, ils se lièrent d'amitié. Ils étaient différents par bien des points mais de nombreuses choses les rapprochaient. Stefan finit par faire confiance à Vladimir. Ils étaient du même âge, à peu près. Ils grandirent ensemble et devinrent très proches. Aussi proches que des frères. Ce lien puissant n'empêchait pas le brun aux yeux d'azur de penser à sa sœur.
Ils firent néanmoins les quatre-cents coups à deux, lorsqu'ils ne travaillaient pas aux champs avec leurs parents. Ils grandirent à deux et chacun devint beau garçon. D'ailleurs, c'est ce qui leur permettait de faire un peu ce qu'ils voulaient. Stefan, en tous cas, s'amusait beaucoup des faveurs des jeunes filles. Il se servait de son beau minois de damoiseau pour faire passer son caractère dur et froid. Il était sociable mais difficile, et il fallait le connaître pour ne pas s'attirer ses foudres. Il fallait surtout lui imposer le respect autrement que par la force que tentait d'employer son père. Son père qui, lorsqu'il n'était pas satisfait de son utilité aux champs ou avait un quelconque grief contre lui, le rouait de coups. Sans le rendre plus docile, cela rendit Stefan belliqueux et il commença à réclamer sa vengeance ainsi que sa liberté. Il le tenait déjà pour responsable de la disparition de Mircea et des malheurs de sa mère, qui se morfondait. Il l'interdisait donc de lever la main sur lui. Et pour cela, Stefan pouvait devenir très persuasif.
Il venait d'avoir dix-huit ans lorsqu'il fut en mesure de se défendre dignement. Lorsque son père leva la main sur lui, Stefan esquiva le coup, un sourire mauvais aux lèvres. Il en rendit un, violent, dans la tête de son père. La situation aurait sûrement dégénéré si sa mère n'était pas intervenue pour séparer les deux hommes. Le garçon était furibond. Il avait pris pendant tellement longtemps qu'il ne pouvait plus laisser passer. La haine au cœur, voulait ce qu'il avait. La haine depuis ses cinq ans d'avoir été privé de sa sœur, puisqu'il avait de plus en plus l'impression que Mircea n'avait pas disparu par hasard, mais qu'il s'était passé quelque chose. L'avaient-ils abandonnée à son triste sort ? Tuée ? Laissée à une famille bonne qui prendrait soin d'elle ? Il restait à milles lieues d'imaginer qu'elle ait été vendue. Pourquoi elle plutôt que lui ? Il était hors de lui.
« N'espérez plus rien de moi. Jamais. Vous pourriez aussi bien disparaître que j'en rirais encore. Aujourd'hui je reprends ma liberté. Je préfère une vie de mendiant à une vie sous le même toit creux que vous ! »
Il était sorti, sans un mot. Il était parti de chez lui, sans un sou, sans une affaire. Il était allé retrouver Vladimir, pour lui faire ses adieux.
« Comment tu crois que c'est, ailleurs ? _ Comme ici, sûrement. Des champs et des affamés. _ Non mais je veux dire... La ville. Tu crois que c'est différent ? _ Pas plus que les villages de marché. Et puis, j'en sais rien, la ville ce n'est pas ce qui m'attire. _ Et si c'était différent ? Enfin, je veux dire... Et si le monde dont parlent les voyageurs existaient ? Les maisons, la société qui côtoie la peuplade ? J'aimerais voir la ville de mes yeux, un jour... _ Alors viens avec moi. On ira à la ville, on ira découvrir ce dont parlent les voyageurs, les égarés. Dacia, les Empires... Toutes ces choses qui s'offrent à nous, si on s'en donne la possibilité. A deux, on sera plus fort. Qu'est-ce qui te retient ici, Vladimir ? _ Rien. Rien ne me retient. Je te suis, Stefan. Ici, il n'y a rien pour moi, même pas une vie de misère. On est condamnés à crever de faim, de gré ou non. »
Vladimir plia bagages aux côtés de Stefan et tous deux prirent la route. Leur voyage dura six années, où ils ne parcoururent que la Roumanie. Le caractère mauvais de Stefan s'affirmait de plus en plus et il n'y avait que son ami qui n'en subissait pas les conséquences. Le garçon frêle était devenu un élégant jeune homme, brun, aux yeux oscillant de l'azur au perle. S'ils parcoururent toujours la Roumanie, c'était chacun pour sa propre raison. Vladimir aspirait à découvrir le monde, comme il aimait à appeler cela. Stefan cherchait Mircea. Leur exil dura presque sept ans, au terme desquels ils se trouvèrent tous deux en Dacia. La ruelle était sombre. Plus personne n'était là. Et il se passa une chose dont Stefan n'a aucun souvenir. Il se rappelle juste d'un coup à la tête, qui lui fit voir le noir. Puis la brûlure. Il se consumait. La douleur le tuait.
Lorsqu'il reprit conscience, tout était plus net. Les sons, les odeurs, les mouvements. Chaque chose attirait son attention. Ses réflexes étaient d'une vitesse prodigieuse. Et l'odeur, l'odeur chaude qui pulsait de chaque humain, l'attirait, irrémédiablement. Il était toujours dans la même ruelle et, plus loin, Vladimir l'observait. Tous deux avaient changé. Leur peau était devenu pâle et froide comme la neige, dure comme la pierre de la montagne. Leurs yeux avaient pris une teinte de nuit, d'un noir profond. Ils se regardèrent un long moment. Ce qu'ils n'avoueraient pas, c'est que leur beauté à tous deux était devenue parfaite. La moindre imperfection de leurs traits avait été gommée. Et tous deux se sentirent brûler d'une force nouvelle. Ils découvrirent rapidement leur nouvelle condition et cela ne les rendit pas moins proches. Ils se découvrirent immortels, plus puissant que le monde qui les entourait.
Le monde vampirique était un monde nouveau pour eux, mais ils apprirent vite les règles et les usages. Nous dirons même qu'à deux, ils eurent de grandes idées. En Dacia, c'était le chaos. Les vampires s'entre-tuaient. Et les deux frères de cœur avaient eu une idée, pour éviter l'extinction de leur puissante race. Mais ils n'étaient que trop peu pour mettre ce plan à exécution. Ainsi, ils reprirent leur route à travers leur Roumanie natale. Stefan avait plus encore l'idée fixe de retrouver sa sœur. Il incita Vladimir à le suivre dans sa recherche, ce qui ne les empêcherait pas de venir grossir les rangs de leurs sujets. Car ils se rêvaient rois de la cour vampirique roumaine. Pas seuls, non. Avec d'autres chefs de Clans, assurément. Mais pour cela, il leur fallait un effectif. Au cours de leurs errances, les deux vampires transformèrent quelques humains qu'ils estimaient dignes d'eux et leurs rangs grossirent progressivement.
Cette folle recherche – qui avait désormais peut d'espoir d'aboutir, vingt ans plus tard – mena Stefan jusqu'à son village natal. Peut-être aussi avait-il besoin de rire au nez de ses parents, restés pauvres car ils s'y étaient résigné et avaient eu peur de courir le monde. Lui vivrait pour toujours et n'avait besoin de nul argent pour manger, de nul toit pour dormir. Vladimir l'avait suivit et son ami, devenu frère par le cœur, n'était que plus important pour Stefan. Ainsi, il avait revu sa vieille demeure, sa mère, courbée sur la terre, au dos voûté, tandis que son père portait le bois de chauffe. Il était resté loin, dressé seul dans la campagne, le sourire narquois. Il avait ricané, aussi, un moment, en voyant l'air perplexe de ses parents. L'avaient-ils reconnu ? Peut-être. Ils devaient le croire, du moins, puisque leur expression se figea. Puis le vampire sembla se dématérialiser sous leurs yeux. Il avait, en réalité, simplement usé de sa vitesse surnaturelle pour se fondre dans le bois dans un rire amusé. Il était allé seul narguer ses géniteurs. Il était désormais temps, pour lui, de rejoindre ses camarades, qui attendaient à une taverne.
Le beau brun sentait ses muscles brûler de vigueur. Il ramena son capuchon sur son visage en arrivant sur le chemin. Il y avait quelques passants. Son sourire mauvais était camouflé par l'ombre large, sur sa tête. Ainsi, il entra dans le lieu de rendez-vous et ôtant son couvert sans attendre. Il rejoignit ses camarades sous l'œil inquisiteur de Vladimir, qu'il rassura d'un sourire carnassier. Puis le vampire s'intéressa à son entourage, prêtant une oreille distraite à ses compagnons de route. Bientôt, son attention se focalisa sur une nouvelle arrivant. Son visage, quoique caché par un capuchon, rabattu sur sa tête, était devinable à la lueur des bougies. Les légères boucles rousses qui encadraient son visage étaient bien visibles. Et cette odeur, qu'il avait réussi à isoler, lui semblait venir d'un autre âge. Il se souvenait nettement d'avoir glissé la tête contre la nuque de cette femme, d'avoir respiré son parfum. Ses traits, devenus si élégants, lui rappelaient la frêle petite qui avait partagé son enfance. Ainsi, Stefan n'était plus avec ceux de son espèce. Son esprit avait bloqué tout ce qui l'entourait. Ne lui restait plus que son idée fixe : Mircea.
D'ailleurs, son regard sanguin restait fixé sur le visage désormais découvert de la jeune femme. Son expression était proche de celle qu'il avait lorsqu'il chassait, si concentré sur sa proie. Sauf qu'il ne s'agissait un aucun cas d'une proie et que son expression n'était pas celle complètement mauvaise des moments précédant la mise à mort. Non. Son expression était empreinte de calme et de sérénité, choses qui ne lui étaient pas arrivé depuis trop longtemps. Il savait d'instinct qu'il avait retrouvé sa moitié. L'instant lui paraissait si irréel qu'il n'osa s'en approcher, préférant l'observer, la graver dans sa mémoire. Lorsque la demoiselle se leva, il la suivit du regard, la laissa venir à lui. Le premier échange fut loin d'être franc. Le nom de Stefan échappa à un de ses camarades, tandis que le vampire s'était levé, pour regarder sa jumelle. Il était grand, désormais. Il laissa librement les yeux de sa sœur décrypter son visage. Trouver les traits qui n'avaient pas changé. Doucement, sans qu'il n puisse l'empêcher, il sentit un sourire étirer ses traits. C'est sûrement à cela que Mircea le reconnut. La suite fut un long moment d'étreintes et de mots murmurés, d'excuses de la part du frère pour n'avoir pas su la protéger, n'avoir pas su la retrouver plus tôt.
Vingt ans. Vingt ans s'étaient écoulés. Il lui était arrivé milles et unes choses. Le vampire avait emmené sa sœur loin de ses camarades, pour lui expliquer son plus grand changement. Il n'avait aucune autre initiative qui s'imposa à lui. Il lui expliqua ce qu'il était devenu, les contraintes que cela avait pu engendrer, mais surtout les choses exquises auxquelles il avait goûté depuis sa transformation. Liberté, confiance, force, adresse, autant de petites choses qui faisaient qu'il aimait sa nouvelle vie. Mais le rouquine avait déjà compris. Et elle avait rapidement prit sa décision. D'un accord tacite, le frère transforma sa sœur, lui offrant l'éternité pour qu'ils ne soient plus jamais séparés. Il lui parla ensuite de son projet, de ses ambitions. Il lui offrit de trôner à ses côtés. Elle serait reine par droit du sang. Il serait là pour la protéger. Toujours. Et il rattraperait le temps perdu, coûte que coûte.
Quelques trois mille ans passèrent ainsi. Stefan et Vladimir prirent la tête des Clans de Dacia. Avec Mircea, ils furent les trois premières souverains de leur monde. Si, au jour de notre histoire, ils sont au nombre de douze, c'est parce que d'autres clans se sont ralliés à eux. On pourrait néanmoins considérer Stefan et Vladimir de rois principaux, puisque c'est en partie eux qui ont instauré ce climat de peur chez les Humains, à réclamer du sang, à se montrer tels qu'ils étaient au grand jour. Il s'étaient installés à la cour du roi humain de Roumanie. Ainsi, le château de Dacia regroupait toute l'élite et tout le pouvoir du pays. Et si Stefan s'amusait à faire lui ses crocs blancs à la lueur des fenêtres lorsqu'il était en tête à tête avec le souverain, il n'en demeurait pas moins un accord tacite entre eux. Tant que l'humain laissait les Vampires agir à leur guise, les Douze seraient cléments envers lui et lui laisseraient et la vie sauve et le pouvoir sur ses sujets.
Ainsi, les deux vampires, partis ensemble de leur village natal et ayant tout vécu de concert, n'avaient pas perdu ce lien, même une fois que Mircea, qui occupait beaucoup son frère tant il tentait de rattraper les vingt ans de douleur de sa sœur, entra dans l'équation. Il fallait dire, tout de même, que le temps d'un Vampire était moins compté que celui d'un humain et, ainsi, Le grand brun réussissait plutôt à concilier chaque chose avec les autres. Il y avait bien quelques obligations qui le soufflaient, comme des apparitions auprès du roi de Roumanie, par exemple. Il s'en serait bien passé et ne se gênait pas de montrer son agacement en montrant régulièrement les crocs ou en se montrant cassant et irritable. Ce qui, en réalité, ne changeait de l'habitude que par l'intensité de son humeur massacrante. Pourtant, il s'y pliait, puisque cela faisait partie de l'arrangement convenu entre les Douze et le roi roumain. Les deux chefs les plus importants s'y pliaient, du moins. Les autres... C'était une autre paire de manches et voilà une raison de plus pour que Stefan se montre mauvais.
Dans ce genre d'obligations, il y avait celle de visiter la noblesse humaine pour divers événement et la participation à divers bals. A cela, Stefan se pliait avec amusement car c'était toujours grand bruit lorsqu'il entrait dans la salle, vêtu de nuit et de sang, le regard rubis et la peau diaphane. Il faisait danser une ou deux demoiselles, puis une riche noble – jamais les même – et repartait comme il était arrivé, après avoir susurré quelques mots suaves aux creux d'oreilles dont il voulait rappeler au propriétaire qui il était et qu'il serait de mauvais goût de continuer de le regarder d'un air qu'il n'aimait pas. Mais il y avait d'autres obligations et parmi celles qui lui étaient plus compliquées d'accomplir, visiter les mourants ou les naissances parmi les Élites. Lorsque le sang se contentait de battre dans les veines, il avait fini par savoir juguler ses pulsions macabres. Mais lorsqu'il s'échappait librement, c'était autrement plus difficile. C'est ainsi qu'il se retrouva, aux côtés de Vladimir et à la suite du roi, à visiter madame la comtesse d'Avery, qui venait d'enfanter. C'est ce jour-là que les yeux de la petite Vasquilla, tout juste née, happèrent toute l'attention de Stefan.
Durant les années qui suivirent, Stefan se fit ombre pour veiller sur la jeune comtesse. Vladimir avait compris et Mircea grondait régulièrement à quel point elle ne supportait pas cette humaine. Tant de choses qui rendaient le Vampire d'autant plus prudent. S'il disait le mot de travers, l'un ou l'autre en tirerait des conclusions et il était des choses sur lesquelles il préférait se faire très discret. Surtout qu'elle était une humaine, vouée à prendre de l'âge et à sombrer dans l'oubli. Si le beau brun avait la solution miraculeuse, il ne pouvait se permettre de la faire valoir sans l'avis de la principale intéressée. Qu'importe, elle grandit. Elle venait d'avoir dix-huit ans, et le bal donné en son honneur fut une merveille. Elle était éblouissante et Stefan eut toutes les peines du monde à ne pas montrer une once de sentiments. Ainsi, il la regarda danser, accompagnant lui-même des demoiselles sur le sol de bois, lustré par les pas feutrés. Lorsqu'elle dansa avec le Prince, Mircea fut la compagne de l'ancien paysan, au milieu de toute cette noblesse. Elle était bien la seule capable de contenir les colères de son frère sans même dire un mot.
L'idylle qu'entretinrent Vasquilla et le Prince n'améliorèrent pas les sentiments de Stefan à l'égard de cet enfant gâté qui n'avait rien connu de la misère et qui ne méritait pas un centième du bonheur qu'on lui concoctait. Stefan se fit quelques peu plus distant de la cour humaine, préférant de longues chasses à l'autre bout de la Roumanie pour éviter de rendre exsangue la belle Dacia dans son intégralité. Car la colère avait tendance à le rendre gourmand et, fin chasseur qu'il était, préférant les longues traques aux captures trop simples, il lui prenait souvent des goûts de forêt ou de littoral, tout en sachant que les populations y était plus rares et, qu'ainsi, il pouvait s'adonner à la chasse telle qu'il aimait la pratiquer. Néanmoins, il vivait beaucoup au château, aussi, et ne changea rien de ces habitudes de monarque vampirique. Il ne laissait pas son trône, n'en donnant pas même l'impression puisqu'il régissait tout de sa main de fer.
Le jour où le Prince rendit son dernier soupir, Stefan était, avec Vasquilla et Vladimir, à la bibliothèque, où il consultait quelques vieux manuscrits relatant de vieilles légendes. Celle qui l'intriguait le plus était celle des Loups-Garous. Ces créatures, bien qu'éveillant en lui de la curiosité, lui inspiraient une certaine crainte, qu'elles étaient sûrement seule à pouvoir faire naître dans l'esprit fourbe et foncièrement mauvais du grand brun. Même des idées de révolte ou de décimation de son monde ne lui faisaient pas peur, car il savait – ou pensait – cela impossible. C'est ainsi, dans ses pensées et études, qu'il entendit le château se mettre à gémir et hurler à la mort. En tendant l'oreille, il apprit la mort du Prince, dans une pièce toute proche. On parlait de poison et, à voir la façon dont Vasquilla les observait, tour à tour, et la moue réprobatrice de l'autre vampire, le jumeau de Mircea eut un sourire macabre. Un peu plus et il aurait montré les crocs dans un rictus mauvais et amusé à la fois.
S'il avait pensé que le Prince, une fois mort, aurait fini de lui causer du trouble et d'éloigner de lui Vasquilla, Stefan s'était trompé. En effet, la jeune femme, qu'il avait connue enfant, portait en elle l'enfant princier. Cette idée en elle-même n'atteignait pas Stefan, car il savait que, tant qu'elle serait humaine, Vasquilla ne pourrait être sienne. Elle n'avait jamais formulé le désir de devenir le monstre de sang que pouvait être l'homme qui s'était épris d'elle. Ainsi, il se refusait à la transformer. Le fait qu'elle ait un enfant ne pourrait sûrement que la rendre heureuse. Le Vampire n'en savait rien, au final, puisqu'il n'avait jamais songé à avoir une descendance, maintenant que cela s'avérait impossible, et n'en nourrissait aucun regret. Humain, il n'aurait pas voulu faire naître un malheureux comme il avait pu l'être dans son enfance. Aujourd'hui, la question, pour lui, ne se posait plus. Dans toute l'histoire, il n'était fait aucune mention d'un enfant né de vampires.
Pourtant, là encore, rien ne se passa comme il fallait. Cet enfant était un danger mortel pour la jeune comtesse. Lors de l'accouchement, il fallut faire un choix. De la mère ou de l'enfant, qui sauver ? Stefan, s'il avait eu son mot à dire, aurait dit la mère. Confronté à la mort de celle qu'il aimait, il se rendit compte que sans elle, la vie aurait un goût de douleur. L'éternité serait trop longue. Mais la mère ne fit pas ce choix, et ce fut son enfant que l'on chercha à sauver. Stefan en serait le parrain, au même terme que Vladimir. Comment pourrait-il choyer le jeune assassin de celle qui avait écarté une part de l'ombre de sa personnalité pour l'y remplacer de quelques sentiments plus agréables ? Cela lui paraissait impossible. Et pourtant, Noana serait sa protégée. Elevée par le roi humain, elle aurait deux Vampires pour veiller sur ses pas. Non. Non ! Stefan refusait. Le dernier souffle de Vasquilla n'était pas arrivé. Alors que tout le monde se penchait sur sa progéniture, le grand brun se pencha sur la jeune mère et la mordit, au creux du poignet. Ce contact fut d'un tel délice, une fois qu'il sentit le sang, qu'il déploya milles et uns trésors de volonté pour ne pas la vider de son sang, la tuer définitivement. Il lui avait offert une nouvelle vie.
Dans ces débuts de Vampire, Stefan chercha à épauler la comtesse. Après tout, lui-même était passé par là et il savait parfaitement comment ce qu'il avait été avait été exacerbé, de même que le moindre de ses sens. Il savait aussi les difficultés qu'étaient celles des nouveaux-nés à contrer le sang humain. Ainsi, la jeune mère avait, un long moment, était coupée de sa fille, même si Stefan la tenait aux nouvelles. Il fallait dire que l'enfant qu'il aurait cru détester s'avérait une petite fille attachante qui faisait son bonheur. Aurait-on un jour cru le voir avec un sourire franc et doux sur le visage, sans qu'il ne soit en chasse ou ne se force ? Aurait-on cru qu'un jour, le Vampire montrerait autre chose que la noirceur dont il était composé ? Il s'avérait être un parrain présent et soucieux. Chose qui amusait plutôt Vladimir et qui faisait généralement lever au ciel les yeux de Mircea. Puis la petite fille devint grande et finit vampire, par le choix de sa mère.
Cela fait un peu moins de trois cents ans que Stefan s'est épris de Vasquilla. S'il l'a transformée, il espère bien un jour trouver les mots pour qu'elle sache à quel point elle compte, pour lui. Depuis un moment, c'est le jeu du chat de la souris, entre eux. Suis-moi je te fuis, fuis-moi je te suis. Mais dans leur existence éternelle, ce n'est qu'une paille. Si le Roi dacian entend des bruits de couloirs, des voix de ville contant une hypothétique révolte, il rit au nez de ces gréco-romains qui, paraît-il, chercheraient à détrôner les Indétrônables. Il rit, il se gosse, il s'esclaffe. Pour lui, ce n'est que mots et impossible. Il sait sa force et celle des siens. Et il n'est définitivement pas prêt de laisser son trône de marbre, dans cette grande salle du château de la belle Dacia. Il ne craint même pas ces Volturi. Il les attend de pieds fermes s'il tente leur pseudo-révolte. Et ce n'est en aucun cas pour eux qu'il cessera son train de vie ou se terrera. Stefan est Roi et compte bien le montrer au grand jour.
ღ qui se cache derrière le personnage?Pour faire court, moi c'est Bloody (Blood') et j'ai 17 ans. Hors RPG j'ai une vie très remplie et je suis souvent occupée ailleurs mais je ferais en sorte d'être le plus possible ici. Côté RPG, j'ai choisi - ou on m'a choisi, surtout - Garrett Hedlund pour incarner Stefan. J'ai découvert ce forum - qui me plaît beaucoup et m'intéresse énormément, sinon je n'y serais pas puisque j'ai déjà un emploi du temps de ministre sans cela - grâce à Dori (Vasquilla) qui m'avait parlé du forum en lui même - et déjà ça me disait bien - avant de me faire succomber au poison mortel qu'est Stefan. Ah, et j'oubliais ! CODE VALIDÉ PAR MIRCEA/ARO ♫ ✓ Statut de la présentation: TERMINÉ. ✓ Suivie par: MIRCEA.
Dernière édition par Stefan J. Dacian le Lun 5 Aoû - 9:07, édité 8 fois |
| | | Vasquilla T. Dacian ROUMAINE DE SOUCHE Future Reine 『❶ MESSAGES』 : 168
『❷ REGISTRED SINCE』 : 23/07/2013
『❸ LOCALISATION』 : A Dacia
『❹ GIFT』 : Electrokinésie
『❺ LOVE』 : Stefan Dacian
『❻ PROS AND CONS』 : Généreuse et intelligente mais violente et sarcastique
『❼ STATUS』 : Comtesse d'Avery
『❽ RPG AGE』 : 325 ans
『❾ SIDE』 : Avec les roumains
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 19:27
Bienvenue à toi ma choupinette. Encore merci d'avoir pris Stefan *0* |
| | | Doru ESCLAVE HUMAIN Propriété de la Reine Mircea 『❶ MESSAGES』 : 302
『❷ REGISTRED SINCE』 : 24/07/2013
『❸ LOCALISATION』 : Toujours au côté de Mircea ! La plupart du temps je suis donc dans le château des Dacians en train d'exécuter les ordres qu'on me donne ! <3
『❹ GIFT』 : Un Don ? Vous voudriez que j'ai cette chance ? Il paraît que certains humains ont en effet cette chance d'en avoir un en étant mortel avant qu'ils ne se développe plus tard... Mais jusqu'alors, je n'ai vraiment rien constaté. J'imagine que je n'en possèderais aucun, bien que certains disent que j'ai un charme assez enfantin.. Très utile pour se faire pardonner ou pour quémander...
『❺ LOVE』 : Hum, je n'y ai jamais songé. Il faut dire que mes conditions ne me le permettent pas vraiment. Je n'ai pas le droit de me marier, peut être qu'un jour...? Sait-on jamais... Même si j'avoue que j'ai un faible pour Eugen, l'esclave que j'ai rencontré sur le marché.
『❻ PROS AND CONS』 : Homme à tout faire, j'imagine avoir de nombreuses qualités ! J'espère à chaque fois faire plaisir à mes maîtres même s'il m'arrive de m'agiter par moment... Oh mais sinon, je fais ce qu'on me dit ! Très souvent sans réfléchir... Je fis le bonheur de mon maître par le passé. C'est aussi une qualité, non ? Peut être suis-je un peu naïf finalement...
『❼ STATUS』 : Je suis né esclave, et je le suis encore aujourd'hui bien que je ne sers plus de stupides mortels. Je sers de véritables dieux ! Je ne suis pratiquement rien aux yeux de la société, rien qu'un pion parmi tant d'autre, mais je suppose que je mérite plus d'estime que les autres créatures de la même hiérarchie que la mienne servant les humains... On pourrait dire que je suis un esclave domestique...
『❽ RPG AGE』 : J'imagine que beaucoup douterons, certain penseront que je suis plus vieux, d'autre songerons que je suis plus jeune mais en réalité, j'ai 25 ans !
『❾ SIDE』 : Le même camp que mon maître sans aucun doute ! Je suivrais tout ses gestes sans exception. Tout ce qu'il dit est vrai à mes yeux, tout ce qu'il fait est juste... Je ne pense pas être apte a avoir mes propres opinions.. J'imagine que ça m'est interdit également...
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 19:34
Bienvenue Parmi Nous ! <3 Bonne chance pour ta fiche ! <3 |
| | | Aro Volturi RÉVOLUTIONNAIRE Votre Maître & Dieu 『❶ MESSAGES』 : 260
『❷ REGISTRED SINCE』 : 23/07/2013
『❸ LOCALISATION』 : volterra.
『❹ GIFT』 : télépathie tactile.
『❺ LOVE』 : ma chère sulpicia.
『❻ PROS AND CONS』 : pour : mon don, ma beauté, ma patience, mon intelligence. contre : mon arrogance, mon égoisme, et mon besoin obsessionnel de pouvoir.
『❼ STATUS』 : fondateur du clan volturi.
『❽ RPG AGE』 : 1650 ans ; dans ma quarantaine d'apparence.
『❾ SIDE』 : ne soyez pas sot.
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 19:44
OH NON PAS TOI !
Bienvenue ô mon ennemi juré !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche <3. Si tu as besoin d'aide n'hésite pas à nous MPotter :3
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| | | Ludvig Volturi 『❶ MESSAGES』 : 138
『❷ REGISTRED SINCE』 : 01/08/2013
『❸ LOCALISATION』 : Toscane
『❹ GIFT』 : Copier don d'autrui
『❺ LOVE』 : Célibataire
『❻ PROS AND CONS』 : Persévérant, courageux, prudent, observateur, curieux, rancunier, flegmatique, associal, méfiant
『❼ STATUS』 : Gladiateur
『❽ RPG AGE』 : 30 ans
『❾ SIDE』 : Celui de la liberté
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 19:45
L'autre Big boss *-* Bon choix de pv! Bienvenue parmi nous ;) |
| | | Mircea Dacian (PSYCHO) REINE L'Une des Douze 『❶ MESSAGES』 : 36
『❷ REGISTRED SINCE』 : 31/07/2013
『❸ LOCALISATION』 : Dans mon château, pardi !
『❹ GIFT』 : Combustion instantanée.
『❺ LOVE』 : Hadès.
『❻ PROS AND CONS』 : ...
『❼ STATUS』 : L'une des douze chefs du clan Dacian.
『❽ RPG AGE』 : 3750 ans en réalité, 25 d'apparence.
『❾ SIDE』 : Je fais partie de la Famille Royale Roumaine.
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 19:50
MON FRÈÈÈÈRE !
J'ai hâte de lire ta fiche ! <3 |
| | | Ravennah Dacian 『❶ MESSAGES』 : 194
『❷ REGISTRED SINCE』 : 23/07/2013
『❸ LOCALISATION』 : Va chercher le chien
『❹ GIFT』 : Invisibilité-immatérielle
『❺ LOVE』 : C'est compliqué entre nous pour le moment....
『❻ PROS AND CONS』 : Son don, sa rapidité, son calme et d'autre que je vous laisserai découvrir.
『❼ STATUS』 : Petite-amie de Vladimir, futur reine ?
『❽ RPG AGE』 : 650ans
『❾ SIDE』 : Je suis avec les roumains
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 20:54
Bienvenu parmi nous et bonne continuation pour ta fiche. |
| | | Stefan J. Dacian 『❶ MESSAGES』 : 33
『❷ REGISTRED SINCE』 : 03/08/2013
『❸ LOCALISATION』 : Dacia ♫
『❹ GIFT』 : Vampire sans don ♫
『❺ LOVE』 : Amoureux ♫
『❻ PROS AND CONS』 : Fidèle & Loyal & Mystérieux ♫ Violent & Casse-cou & Irréfléchi ♫
『❼ STATUS』 : Roi du Clan Dacian ♫
『❽ RPG AGE』 : 3650 ans ♫ 26 d'apparence ♫
『❾ SIDE』 : ♫
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 21:25
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| | | Sulpicia Flavius Perfect Perfection 『❶ MESSAGES』 : 116
『❷ REGISTRED SINCE』 : 31/07/2013
『❸ LOCALISATION』 : Soon
『❹ GIFT』 : Pour l'instant ?Aucun...
『❺ LOVE』 : Amoureuse & emplie d'espérance...
『❻ PROS AND CONS』 : Soon
『❼ STATUS』 : Tragédienne à l'esprit poète...
『❽ RPG AGE』 : 18 Ans
『❾ SIDE』 : Soon
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sam 3 Aoû - 22:01
Bienvenue & bonne chance pour la suite de ta fiche Stefan ^^
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| | | Mircea Dacian (PSYCHO) REINE L'Une des Douze 『❶ MESSAGES』 : 36
『❷ REGISTRED SINCE』 : 31/07/2013
『❸ LOCALISATION』 : Dans mon château, pardi !
『❹ GIFT』 : Combustion instantanée.
『❺ LOVE』 : Hadès.
『❻ PROS AND CONS』 : ...
『❼ STATUS』 : L'une des douze chefs du clan Dacian.
『❽ RPG AGE』 : 3750 ans en réalité, 25 d'apparence.
『❾ SIDE』 : Je fais partie de la Famille Royale Roumaine.
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Lun 5 Aoû - 18:49
Ϟ BIENVENUE DANS LE CLAN DACIAN Ϟ FÉLICITATIONS, TU ES VALIDÉ! Ta fiche de présentation a été vue, entièrement lue et validée par ARO/MIRCEA. Nous te souhaitons un très bon jeu parmi nous, et nous espérons que tu t'amuseras bien, te feras tout plein d'amis ! ( A) Avant de commencer à tâter du sujet RP, nous te conseillons de faire un petit tour dans ces sujets de manière à référencer la célébrité de ton avatar, ton don dans le cas où tu en possèdes un. Puis, si ton personnage a besoin d'un logement, ou que tu désires fonder un clan, c'est à cette adresse que tu devras te rendre afin qu'une gentille administratrice s'occupe de toi le plus vite possible ! Bien entendu n'oublions pas le hors jeu ! Tu peux poster ton sujet tout beau tout neuf dans chacune de ces catégories, soit pour te faire de nouveaux liens, soit pour énumérer tes sujets RP, présenter tes scénarios, ou encore rédiger le journal intime de ton personnage ! Et ce sera tout pour le moment, mais n'oublie pas de contribuer régulièrement aux sondages du forum, commenter le journal du forum, flooder et proposer toutes sortes de jeux et puis surtout, viens nous voir sur la chat box ! :3 CODAGE PAR LAZY RAMOLOSS
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| | | Stefan J. Dacian 『❶ MESSAGES』 : 33
『❷ REGISTRED SINCE』 : 03/08/2013
『❸ LOCALISATION』 : Dacia ♫
『❹ GIFT』 : Vampire sans don ♫
『❺ LOVE』 : Amoureux ♫
『❻ PROS AND CONS』 : Fidèle & Loyal & Mystérieux ♫ Violent & Casse-cou & Irréfléchi ♫
『❼ STATUS』 : Roi du Clan Dacian ♫
『❽ RPG AGE』 : 3650 ans ♫ 26 d'apparence ♫
『❾ SIDE』 : ♫
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Lun 5 Aoû - 18:57
Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii <3 |
| | | Athenodora Volturi Queen of Heart ♥ 『❶ MESSAGES』 : 51
『❷ REGISTRED SINCE』 : 03/08/2013
『❸ LOCALISATION』 : Volterra
『❹ GIFT』 : Contrôle des souvenirs
『❺ LOVE』 : Caïus Volturi
『❻ PROS AND CONS』 : Gentille, Tendre, Impétueuse, Rancunière, Aventureuse...
『❼ STATUS』 : L'une des reines de Volterra. C'est déjà bien comme ça non?
『❽ RPG AGE』 : 1 450 ans mais 30 ans en apparence
『❾ SIDE』 : Dans le camp de mon mari, tout simplement.
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Lun 5 Aoû - 19:01
Bienvenu parmi nous et bon jeux ! |
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| «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian Sujet: Re: «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian
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| | | | «Tout pouvoir est violence. » (G. Lamer) † Stefan J. Dacian | |
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