e Roi cheminait de son pas aérien. L'air était chaud, autour de lui, contrastant vivement avec sa peau de marbre. Il avait délaissé sa lourde cape couleur de nuit pour revêtir une simple chemise de coton assez grossier. Qu'importaient les vêtements, seul son visage captivait. Des très durs mais parfaits, un teint d'albâtre, un regard sanguin, un sourire envoûtant, des cheveux sombres. Par un réflexe vieux comme le monde, il passa la main dans ses cheveux. Son regard se porta alentours. L'Hispanie n'était définitivement pas sa Roumanie natale. Mais voir d'autres horizons ne lui déplaisir guère. Surtout pas en cette compagnie. A quelques mètres de lui à peine cheminait une autre créature toute aussi époustouflante que lui. Ses traits avaient la même perfection farouche, sa peau la même pâleur, son regard le même rubis. N'étaient que ses longs cheveux roux, encadrant son visage d'une extrême beauté de leurs douces boucles. On leur devinait quelques expressions communes, aussi.
Ces deux énigmatiques personnages, ainsi que les quelques autres qui les suivaient, n'avaient d'humain que ce qui ressemblait à une enveloppe charnelle. Même leur façon d'être avait perdu tout trace d'humanité. Et pour cause ; ils étaient des vampires. Les deux qui cheminaient en tête étaient Roi et Reine de leur Clan. Ils étaient des Dacian. Ils se voulaient souverains de leur espèce toute entière. S'ils étaient si loin de leur Roumanie natale, ce n'était pas pour des raisons qui incombaient à leur rang social. Mais l'Homme au sourire sombre avait un jour dit qu'il découvrirait le monde et il profitait de son immortalité pour visiter d'autres contrées. La femme l'accompagnait à sa demande. Ils étaient accompagnés de quelques gardes en cas de besoin. Même si c'était inutile. Leur voyage durait depuis quelques jours, seulement, et s'ils étaient si silencieux, c'était qu'ils avaient quitté le terrain de leur dernière chasse depuis peu de temps.
Stefan se régalait du paysage qui s'étendait face à lui. Il huma l'air, y découvrant de subtiles odeurs qu'il ne connaissait pas, dans ses contrées bien plus froides. Pourtant, il ne pouvait qu'aimer son pays. Il l'avait d'ailleurs, en trois mille ans, vu évoluer énormément. Ici, c'était nouveau, pour lui. Il ne connaîtrait l'Hispanie que le temps d'un voyage, sûrement. Cette idée aurait rendu nostalgique n'importe que. Pas lui, dont le regard rouge profond s'était posé sur la rouquine. De sa démarche aérienne, il s'approcha de sa sœur. Il la dominait de quelques centimètres. Pourtant, ils avaient le même âge, exactement. Ils étaient jumeaux et depuis toujours avaient été très complices. Il n'y avait donc rien d'étonnant à ce que Mircea accompagne son frère dans ce voyage. Frère qui ne put s'empêcher de lui poser une question.
« Le voyage te plaît-il, Mircea ? Tarragone est à quelques heures de nous, désormais. »
Le voyage plaisait au moins à l'ancien paysan. Le simple fait que sa jumelle soit de la partie lui donnait beaucoup de satisfaction. Cela faisait près de trois-mille-six-cents ans qu'ils foulaient le sol de la Terre tous deux et une forte complicité les avait lié. Les aléas de la vie les avaient séparé, aussi. Et pourtant, Stefan et Mircea s'adoraient toujours autant. Il lui avait promis de veiller sur elle, de rattraper le temps perdu et surtout d'être toujours là pour elle. Elle avait fait les même vœux à son égard. Si on connaissait le Roi dur et violent, il savait être tout autre avec sa moitié biologique. Ainsi, il était soucieux d'elle. Il ne craignait certes pas sa fatigue, puisque les vampires jamais ne se reposaient, mais plutôt son ennui. Auquel cas, il aurait bien entendu avisé, pour le seul plaisir de Lady Mircea.
『❼ STATUS』 : L'une des douze chefs du clan Dacian.
『❽ RPG AGE』 : 3750 ans en réalité, 25 d'apparence.
『❾ SIDE』 : Je fais partie de la Famille Royale Roumaine.
«Today let's make our promises » † Stefan & Mircea
Sujet: Re: «Today let's make our promises » † Stefan & Mircea Jeu 8 Aoû - 17:32
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« Qu'est-ce-qui vous a amené à rejoindre la Compagnie des Indes ?
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« Comment envisagez-vous votre avenir au sein de la Compagnie ?
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e calme de ce voyage apportait un agréable répit au souverain. S'il aimait son pouvoir, il n'en demeurait pas moins esclave, parfois. Et si l'on pensait que le vampire n'était sujet qu'à la haine et la méchanceté, il n'en demeurait pas qu'il avait parfois des difficultés à trouver de l'apaisement. Certaines questions le taraudaient jusque dans ses phases de repos éveillé. S'il n'était pas malade de stress, il vous avouerait sûrement, si vous posiez les bonnes questions, que partir en visite dans d'autres contrées n'était qu'une chose reposante et qui lui permettrait de se vider la tête. D'autant plus qu'en présence de Mircea, Stefan se montrait tout autre. Ses qualités se trouvaient exacerbées par la présence de sa jumelle. Plus protecteur, mais aussi plus à l'écoute. Il se montrait parfois bavard, mais lui répondait chaque fois avec grand plaisir, malgré quelques réponses courtes. Aux côtés de la rouquine, le grand brun se montrait parfois d'une très agréable compagnie. On pouvait parfois deviner un sourire toute ce qu'il y avait de plus charmant, accroché à ses lèvres, tandis qu'il observait à la dérobée celle qui avait partagé ses premiers instants. Il dévoilait des facettes de sa vie qu'il aurait volontiers oublier. Avant sa transformation, sa vie ne valait pas le coup ; pas autant qu'aujourd'hui, en tous cas. Il montrait aussi des facettes de son âme noire qu'il avait enfoui au fond et n'avait jamais laissé entrevoir à ceux de son espèce. Il avait fallu le connaître enfant pour savoir ce qu'il recelait au fond de lui. Il n'y avait que Vladimir et Mircea qui puissent y prétendre. Ainsi, la belle avait pu entendre une voix profonde et grave, pourtant légère, bien différente de celle froide et impérieuse qu'employait Stefan, s'élever, pour une question prononcée avec beaucoup de douceur, lorsque l'on connaissait assez le roumain.
Tandis qu'il plantait son regard sombre sur sa sœur, il apprécia le fin sourire qui étira ses lèvres bien dessinées. Il songea qu'elle avait le sourire de leur mère, sans avoir la même bouche aux lèvres sans éclat et crevées de plaies qu'avait celle qui leur avait donné la vie. A l'instant même, rien n'existait plus. Ne demeurait que Stefan et sa douce sœur. Les gardes avaient tout intérêt à ne pas approcher ou faire de bruit. En troublant ce doux moment de complicité qui semblait si banal et comptait pourtant tant aux yeux du Souverain, ils s'exposaient à la peine capitale. Capital venant de Caput, Caputis, la tête, vous comprendrez peut-être mieux s'il venait à leur arracher la tête d'un seul mouvement. Je doute de l'intérêt de ce cours de latin dans cette réponse. Je doute moins du besoin d'une explication quant à l'importance de ce moment pour le Roi. Ils avaient vingt ans d'une vie mortelle à rattraper. Et pour cela, l'éternité, semblait-il au vampire, ne suffirait jamais. Ainsi, il prenait et chérissait chaque seconde complice passée aux côtés de sa moitié. D'ailleurs, lorsque cette dernière répondit de manière joyeuse, son jumeau eut un large sourire, franc et doux. Assurément, il n'y avait qu'elle pour le mettre dans cette état.
« J'en suis ravi. Tu verrais, Tarragone est une ville agréable. Du moins c'est le souvenir qu'elle m'en a laissé lors de mon premier et bref passage ici. Je suis content de te la faire découvrir. »
Des moments comme celui-là, il en rêvait. Sa sœur aussi semblait apprécier ce simple voyage. Il n'était nul part question de répréhension, d'annexer quoi que ce soit, de rencontrer les souverains d'un clan lointain. Il n'était question que d'un très agréable voyage. D'autant plus que la divine Mircea semblait d'humeur à questionner son frère. Il avait, depuis tout petit, toujours eu plus de facilités à répondre à des questions qu'à en poser et c'était un exercice auquel il se pliait relativement docilement avec les personnes qu'il connaissait. Sauf que là, la question de sa jumelle le piqua. Vraiment. Il soutint son regard, sans fermer l'expression de son visage, bien que son sourire disparaisse quelques peu et qu'une lueur farouche ne s'empare de ses yeux sanguins. A la place de ce grand sourire doux, ce fut un sourire plus petit, quelques peu mesquin, qui étira ses lèvres, tandis qu'il lui répondait d'une voix qui lui ressemblait déjà plus. On sentait mieux la complexité de son âme parfois torturée.
« Si c'était vrai, ne crois-tu pas que tu serais la première au courant ? Ou seconde, si je venais à croiser Vladimir avant, par 'malchance'. Ces rumeurs sont vouées à se noyer dans le flot d'autres rumeurs. Si tu en sais plus que moi sur les sentiments de Vasquilla, éclaire ma lanterne, veux-tu ? »
Lentement, il se pencha à l'oreille de sa sœur, pour lui glisser, si bas qu'il n'y aurait qu'elle pour l'entendre :
« Je te mentirais en te disant que je ne l'aime pas, pourtant. »
Les gardes avaient des oreilles, et il se méfiait parfois des siens. Il se méfiait de tout le monde, sauf de Mircea – c'était évident, non ? –, de Vladimir – avec qui il avait passé les plus dures des épreuves – ou de Vasquilla – l'amour étant plus fort que la méfiance. De ceux dont il se méfiait, il y avait Ravennah, au dessus du lot. Il se méfiait de tout le monde, à sa façon. C'était sa nature. Il n'était pas naturellement confiant. Quoi qu'il en soit, il s'était confié à sa jumelle en quelques mots. Ils pouvaient très bien remettre à plus tard cette question. Dans l'intimité de la nuit, seuls à deux, il n'hésiterait pas à lui murmurer sans détours ses sentiments pour la comtesse. Mais pas ici. Pas devant la garde. En l'absence de la garde, il l'aurait fait. C'est en lançant un regard circulaire, de nouveau redressé, qu'il le signifia à la rouquine. Ne laissant pas le silence s'abattre, Stefan reprit avec détachement et presque enthousiasme.
« J'ai moi aussi entendu des rumeurs. On dit que tu as fais plusieurs voyages à Rome, dernièrement ? Cette ville te plaît ? »
Il n'avait jamais été doué pour les sentiments, qu'il s'agisse des siens ou de ceux de sa sœur. Alors il ne se mêlait pas de sa vie privée. Non, à la place, il se servait de ce qu'il entendait pour entretenir un dialogue, maintenant qu'il était troublé par ces rumeurs qui tournaient. L'idée qu'elles soient sans fondement et proviennent de sa sœur chérie ne lui effleura pas même l'esprit. Il couva une fois de plus celle qu'il avait trop longtemps perdue de vue d'un regard tendre et protecteur. Il se promit une fois encore de toujours la protéger, de rester toujours à ses côtés. Il se promettait de nouveau de ne plus jamais faillir à sa tâche de frère.
『❼ STATUS』 : L'une des douze chefs du clan Dacian.
『❽ RPG AGE』 : 3750 ans en réalité, 25 d'apparence.
『❾ SIDE』 : Je fais partie de la Famille Royale Roumaine.
«Today let's make our promises » † Stefan & Mircea
Sujet: Re: «Today let's make our promises » † Stefan & Mircea Jeu 15 Aoû - 21:37
tagged: lord stefan & lady mircea. notes: désolée du retard mon stefie :(
Look back, don't you dare let me start to do that I don't care if the things that I have only make me afraid to lose. I need to let go, need to want to keep letting you know that we both have a reason to follow. Long as we let this lead, I am barely breathing. Let me down, you say never, don't you ever I'm used to being one with the misfortune to find. Afternoons, run for cover and full moons, just wonder what it looks like here on my morningside.
« J'en suis ravi. Tu verrais, Tarragone est une ville agréable. Du moins c'est le souvenir qu'elle m'en a laissé lors de mon premier et bref passage ici. Je suis content de te la faire découvrir. »
En premier lieu silencieuse, Mircea esquissa un léger sourire amusé. Elle fut profondément touchée par les paroles de son frère biologique, et particulièrement à cause du fait qu’il avait voulut faire ce voyage en sa compagnie ; alors qu’il aurait très bien pu choisir n’importe qui d’autre pour l’accompagner. Comme Vladimir, avec qui il était extrêmement lié. Mircea n’était pas aussi proche que son frère de ce vampire aux cheveux blonds foncés, épris de Ravennah, une autre roumaine de leur clan. Mais elle avait suffisamment de respect pour lui pour apprécier son contact lors des réunions entre chefs de famille. Visiblement, Stefan s’était déjà rendu en Hispanie. Mircea arqua un sourcil, attentive ; buvant les paroles de son frère avec une certaine admiration. « Oh vraiment ? Eh bien, d’après ce que je peux admirer, c’est tout bonnement splendide ! Je me languis de découvrir cette cité à tes côtés, Stefan. » lui répondit la sulfureuse vampire aux boucles rousses. « J’ai trouvé le temps long depuis notre dernière promenade tous les deux… » rajouta-t-elle avec une petite moue boudeuse, un tantinet capricieuse. Mircea comprenait que le devoir appelait Stefan très souvent, et qu’il aurait peut-être préféré rester à ses côtés certains jours, après tout, il était chef de clan.
« Si c'était vrai, ne crois-tu pas que tu serais la première au courant ? Ou seconde, si je venais à croiser Vladimir avant, par 'malchance'. Ces rumeurs sont vouées à se noyer dans le flot d'autres rumeurs. Si tu en sais plus que moi sur les sentiments de Vasquilla, éclaire ma lanterne, veux-tu ? » Devant les paroles de son frère, la vampire rousse se mit à sourire narquoisement. Il n’était pas dupe. Et c’est là qu’elle se réjouissait d’avoir un homme tel que lui comme jumeau. « C’est bien vrai…Tu m’en aurais parlé. » rétorqua Mircea sur le ton de l’amusement ; consciente que sa tentative d’arracher des informations à son frère n’était pas très maline. « Concernant les sentiments de Vasquilla…Je ne pourrais parler à sa place, mais Stefan, tu ne lui est pas indifférent. » ajouta la roumaine rêveusement. Mircea aurait adoré avoir pour belle-sœur Vasquilla, étant donné qu’elle entretient d’excellents rapports avec elle.
« Je te mentirais en te disant que je ne l'aime pas, pourtant. » Et pourtant, il parvint à lui susurrer ces quelques mots dans un faible murmure qu’elle seule pouvait entendre à cette distance. Mircea leva les yeux vers les gardes qui les suivaient à quelques mètres et comprit pourquoi Stefan ne souhaitait guère s’étendre sur le sujet pour le moment. Mircea se gifla mentalement pour ne pas y avoir pensé. Il était si craintif, méfiant à l’égard de quiconque ; gardes compris. Mircea était moins méfiante que son jumeau, pas par stupidité, mais plutôt par arrogance. Elle demeurait persuadée que personne n’oserait attenter à sa vie ou tenter de lui causer du tort. Elle était Reine, après tout. Et son frère, Stefan, représentait une forme d’autorité divine pour les mortels et même, une bonne partie des immortels. La vampire, sûre de ses dires, n’osait imaginer un monde où ils ne seraient plus à la tête de leur race, où on les répudieraient, insulteraient, et briseraient. Non. Mircea était sûre d’une chose, cette vie durerait pour l’éternité. Rien ne changerait. Volturi ou pas. Cette menace greco-romaine la faisait bien plus rire qu’autre chose ! Une révolution ? La fin de l’esclavagisme et de leur culte de la personnalité ? La décadence ? L’arrêt net de leur règne millénaire ? Quelle idée saugrenue ! Mircea ignorait à ce moment à quel point cette excessive confiance en elle pouvait lui porter préjudice.
« J'ai moi aussi entendu des rumeurs. On dit que tu as fais plusieurs voyages à Rome, dernièrement ? Cette ville te plaît ? »
Si elle avait put devenir encore plus livide qu’elle ne l’était actuellement, Mircea aurait été trahie par ses propres émotions. Elle baissa lentement ses yeux rougeâtres vers les imposants chênes s’étendant à perte de vue sur sa gauche. « C’est intéressant…comme rumeur. » rétorqua Mircea doucement, se maudissant intérieurement pour avoir tenté de vainement piéger son frère. « Mais les rumeurs s’avèrent exactes. Je me plais beaucoup à Rome, c’est une ville agréable. C'est une distraction comme une autre. » avoua-t-elle, en omettant simplement de mentionner Hadès. Qu’aurait dit Stefan ? Hadès était un humain. Mircea se demandait même comment elle avait pu accepter une pareille liaison, il n’était que de la chair fraîche, de la nourriture ; rien, comparé à elle, Immortelle. Mais pourtant…Ce n’était pas n’importe quel humain. Hadès était un homme important dans la hiérarchie mortelle, consul et général romain. S’il avait pu être Immortel à son tour, peut-être bien que Mircea n’aurait pas été aussi honteuse. « Pourquoi cette question ? »